Contrairement à celle de Montpellier, l’étape de Toulouse aura été plus positive pour l’aviseur. A Montpellier, la configuration étroite des rues où se trouvait la direction des douanes avait obligé l’aviseur à abandonner son camping-car, trop large pour pouvoir s’installer directement sur place. Cette fois, le Laika a pu se positionner au pied de l’immeuble toulousain des douanes.
NS55 a pu sensibiliser les passants sur son action, rencontrer la presse et mobiliser l’opinion publique, relayé par un impressionnant dispositif publicitaire – affiches géantes reproduisant la couverture de son livre, panneaux accrochés aux flancs de la remorque avec de nombreux articles de presse, pancartes « informations douanières », table d’exposition...
La direction des douanes ne s’est pas manifestée, ignorant assez étrangement un tel campement pourtant immanquable à ses pieds. Quelques fonctionnaires des douanes sont tout de même venus à la rencontre du tour, pour voir ce dont il s’agissait. La plupart semblaient sincèrement ignorer l’histoire de l’agent infiltré. Les passants et les habitants du quartier se sont montrés très intéressés par cette présence singulière, engageant volontiers la conversation et multipliant les questions.
L’aviseur a vendu une dizaine de livres. Par ailleurs, le convoi aura reçu une visite discrète de deux agents des RG, venus aux renseignements.
Au total, l’étape de Toulouse aura été très sportive et intéressante.
Nous avons ensuite pris la route d’Agen dans la nuit, pour trouver un point de chute pour dormir sur les bords d’un canal, face aux péniches, à Castelsarrasin. Sur le coup des 1h30, l’équipe était plongé dans un profond sommeil.
Et ce matin, nous avons même eu droit à une grasse matinée, avec lever vers 9h30.
Une grande première !
Olivier-Jourdan Roulot,
sur la route du tour, depuis Castelsarrasin
NS55 a pu sensibiliser les passants sur son action, rencontrer la presse et mobiliser l’opinion publique, relayé par un impressionnant dispositif publicitaire – affiches géantes reproduisant la couverture de son livre, panneaux accrochés aux flancs de la remorque avec de nombreux articles de presse, pancartes « informations douanières », table d’exposition...
La direction des douanes ne s’est pas manifestée, ignorant assez étrangement un tel campement pourtant immanquable à ses pieds. Quelques fonctionnaires des douanes sont tout de même venus à la rencontre du tour, pour voir ce dont il s’agissait. La plupart semblaient sincèrement ignorer l’histoire de l’agent infiltré. Les passants et les habitants du quartier se sont montrés très intéressés par cette présence singulière, engageant volontiers la conversation et multipliant les questions.
L’aviseur a vendu une dizaine de livres. Par ailleurs, le convoi aura reçu une visite discrète de deux agents des RG, venus aux renseignements.Au total, l’étape de Toulouse aura été très sportive et intéressante.
Nous avons ensuite pris la route d’Agen dans la nuit, pour trouver un point de chute pour dormir sur les bords d’un canal, face aux péniches, à Castelsarrasin. Sur le coup des 1h30, l’équipe était plongé dans un profond sommeil.
Et ce matin, nous avons même eu droit à une grasse matinée, avec lever vers 9h30.
Une grande première !
Olivier-Jourdan Roulot,
sur la route du tour, depuis Castelsarrasin
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